quand?
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quand?
monsieur le poète bravissimo
Vous avez fait danser les mots
Comme des papillons primesautiers
Dans les palmes et les cocotiers
chapeau monsieur mon ami poète
Vous m'avez mis le cœur en fête
Et des images plein la tête
Vous êtes un véritable esthète
Merci mon ami le magicien
Pour vos talents de musicien
Cette petite cantate me revient
Comme un air baudelerien
Sous le souffle de vos mots
Ondulent et chantent les roseaux
Et dans mon âme brille une flamme
Quand vos vers que je déclame
Encore monsieur le poète encore
Dans vos rimes et vos accords
Des rêves des rires et des pleurs
De la douceur et du bonheur
tes mots se sont tus
dis, quand reviendras-tu?
porté par tes semelles de vent
et tes mots si émouvants
frère poète
ami esthète !
Vous avez fait danser les mots
Comme des papillons primesautiers
Dans les palmes et les cocotiers
chapeau monsieur mon ami poète
Vous m'avez mis le cœur en fête
Et des images plein la tête
Vous êtes un véritable esthète
Merci mon ami le magicien
Pour vos talents de musicien
Cette petite cantate me revient
Comme un air baudelerien
Sous le souffle de vos mots
Ondulent et chantent les roseaux
Et dans mon âme brille une flamme
Quand vos vers que je déclame
Encore monsieur le poète encore
Dans vos rimes et vos accords
Des rêves des rires et des pleurs
De la douceur et du bonheur
tes mots se sont tus
dis, quand reviendras-tu?
porté par tes semelles de vent
et tes mots si émouvants
frère poète
ami esthète !
CARAIBES- Messages : 158
Re: quand?
Maître « pédant » sur ses ergots fort bien dressés
Tenait sa diatribe devant la plèbe amusée
Enjolivant ses mots avec force d'ineptie
Ne les comprenant plus lui-même..vrai ouistiti.
Maître « tordu » alléché par ce talent né
Se garda et pour cause illico d'acquiescer
Usant de subterfuges véreux et puants
Vous êtes peut-être maître...mais moi le nanan.
Ne voulant pas laisser cette place libre
Voici que s'approche une personne horrible
Maître « imposteur » drapé d'une rare élégance
Vint tremper son fiel dans cette tambouille rance
« Cessez donc de médire sur votre prochain »
Osa-t-il lancer en changeant son refrain
Se drapant impunément avec persuasion
Sous ses aspects vomitifs de fêlé...abscons.
Je suis venu vous dispenser l'éducation
Mon exemple est le seul à suivre, c'est le bon.
Ecoutez ma parole, l'évangile des idiots
Buvez et dégustez, vous serez bien moins sots.
MORALE: Si par hasard, mais je dis bien le pûr des hasards, vous êtes susceptible de voisiner...dans une réunion...ou autre lieu..avec les personnages...sus-mentionnés...FUYEZ....pour éviter la contamination!!
Tenait sa diatribe devant la plèbe amusée
Enjolivant ses mots avec force d'ineptie
Ne les comprenant plus lui-même..vrai ouistiti.
Maître « tordu » alléché par ce talent né
Se garda et pour cause illico d'acquiescer
Usant de subterfuges véreux et puants
Vous êtes peut-être maître...mais moi le nanan.
Ne voulant pas laisser cette place libre
Voici que s'approche une personne horrible
Maître « imposteur » drapé d'une rare élégance
Vint tremper son fiel dans cette tambouille rance
« Cessez donc de médire sur votre prochain »
Osa-t-il lancer en changeant son refrain
Se drapant impunément avec persuasion
Sous ses aspects vomitifs de fêlé...abscons.
Je suis venu vous dispenser l'éducation
Mon exemple est le seul à suivre, c'est le bon.
Ecoutez ma parole, l'évangile des idiots
Buvez et dégustez, vous serez bien moins sots.
MORALE: Si par hasard, mais je dis bien le pûr des hasards, vous êtes susceptible de voisiner...dans une réunion...ou autre lieu..avec les personnages...sus-mentionnés...FUYEZ....pour éviter la contamination!!
neicigam- Invité
Re: quand?
Super monsieur le magicien rebelle
Cette écriture est vraiment fort belle
Certes j'y sens quelques propos acerbes
dans le style d'Esope ou François de Malherbe
Il s'agit d'un beau texte satirique ,une antienne
digne d' une Phillipique du grand Démosthène
lancés du haut de ces puissants ergots
j'entends bien les sonores COCORICO
j'imagine la crête par la colère rougie
le jabot avantageux à la lueur des bougies
c 'est un vieil atavisme avicole
qui dans ce texte lentement percole
j'adore ce joli petit fabliau
digne des meilleurs griots
il est de fort belle facture
c'est de la bonne écriture
mais pour comprendre distinctement
le fin mot de l'histoire et de ses truchements
encore faudrait il savoir reconnaître
Rohan le corbeau qui vient de naître
et où est caché Goupil l'espiègle renard
qui tous deux cette jolie fable nous narrent
je les ai bien reconnus dans leur tenue camouflée
j'en suis encore toute émoustillée, époustouflée
et puisque nous devons rendre à César
la vérité et la qualité de tout son art
j'annonce à découvert l'auteur originel
de ce beau texte qui fait couler le rimel
il s'agit d'un esprit fin et érudit
en toute honnêteté je vous le dis :
cette satire s'intitule " Le pédant le tordu et l'imposteur "
MANUMANU en est le digne et brillant auteur
Vous pourrez le retrouver facilement avec sa guitare
Via le lien internet suivant , il n'est jamais trop tard :
Cette écriture est vraiment fort belle
Certes j'y sens quelques propos acerbes
dans le style d'Esope ou François de Malherbe
Il s'agit d'un beau texte satirique ,une antienne
digne d' une Phillipique du grand Démosthène
lancés du haut de ces puissants ergots
j'entends bien les sonores COCORICO
j'imagine la crête par la colère rougie
le jabot avantageux à la lueur des bougies
c 'est un vieil atavisme avicole
qui dans ce texte lentement percole
j'adore ce joli petit fabliau
digne des meilleurs griots
il est de fort belle facture
c'est de la bonne écriture
mais pour comprendre distinctement
le fin mot de l'histoire et de ses truchements
encore faudrait il savoir reconnaître
Rohan le corbeau qui vient de naître
et où est caché Goupil l'espiègle renard
qui tous deux cette jolie fable nous narrent
je les ai bien reconnus dans leur tenue camouflée
j'en suis encore toute émoustillée, époustouflée
et puisque nous devons rendre à César
la vérité et la qualité de tout son art
j'annonce à découvert l'auteur originel
de ce beau texte qui fait couler le rimel
il s'agit d'un esprit fin et érudit
en toute honnêteté je vous le dis :
cette satire s'intitule " Le pédant le tordu et l'imposteur "
MANUMANU en est le digne et brillant auteur
Vous pourrez le retrouver facilement avec sa guitare
Via le lien internet suivant , il n'est jamais trop tard :
http://poeme-satire.jepoeme.com/discussion-194087-Le_pedant_le_tordu_et_l_imposteur_/1.html
CARAIBES- Messages : 158
felix culpa ..
Poète prodigue de mots en kyrielle
après avoir dépensé tout ce verbe providentiel
Dans ton silence soudain devenu tristesse
J'entends l'écho de ta jeunesse
Mes appels sont ils superflus
Ou dois je en dire encore bien plus?
Je veux bien avoir la faiblesse
D'entendre les mots qui blessent
Plutôt que de te voir fier et bégueule
Me laissant mélancolique et seul
Eloigne de moi ce plein calice
de silence que je croyais délice
Tes mots sont des icebergs titanesques
Fondant comme des cathédrales gigantesques
dans les hivers glacés de ma banquise
Devenue une âme agonisante et grise
Ecris moi encore des sombres histoires
de ta plume trempée dans l'encre noire
poète de l'intérieur qui cache son visage
honteux de quelque escapade volage
la poèsie est une faute originelle
une trace une plaie éternelle
o mon navire messianique
o mon arche de mots magiques
ne sombre pas dans l' abysse des océans
ne m'entraîne pas au fond du gouffre béant
rachète mon original péché florentin
sous la bénédiction de saint Augustin
par des mots de vertu
entendus de auditu
en français ou en latin
reviens mon bon samaritain
à genoux je te prie, deus ex machina
felix culpa .. je t'en supplie ..felix culpa
après avoir dépensé tout ce verbe providentiel
Dans ton silence soudain devenu tristesse
J'entends l'écho de ta jeunesse
Mes appels sont ils superflus
Ou dois je en dire encore bien plus?
Je veux bien avoir la faiblesse
D'entendre les mots qui blessent
Plutôt que de te voir fier et bégueule
Me laissant mélancolique et seul
Eloigne de moi ce plein calice
de silence que je croyais délice
Tes mots sont des icebergs titanesques
Fondant comme des cathédrales gigantesques
dans les hivers glacés de ma banquise
Devenue une âme agonisante et grise
Ecris moi encore des sombres histoires
de ta plume trempée dans l'encre noire
poète de l'intérieur qui cache son visage
honteux de quelque escapade volage
la poèsie est une faute originelle
une trace une plaie éternelle
o mon navire messianique
o mon arche de mots magiques
ne sombre pas dans l' abysse des océans
ne m'entraîne pas au fond du gouffre béant
rachète mon original péché florentin
sous la bénédiction de saint Augustin
par des mots de vertu
entendus de auditu
en français ou en latin
reviens mon bon samaritain
à genoux je te prie, deus ex machina
felix culpa .. je t'en supplie ..felix culpa
CARAIBES- Messages : 158
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