Ode à Maîtresse Cruella
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Ode à Maîtresse Cruella
Avant de chercher le repos éternel
je voudrais te faire une révélation
afin que tu prennes tes dispositions
pour assurer ta survie émotionnelle
Tu me causes de vives douleurs
tu te nourris de mes souffrances
tu m'infliges tant de pénitences
et tu te repais de mes malheurs
Tu blesses et tu molestes
mon corps et mon esprit
je n'ai toujours pas compris
pourquoi toutes tes ardeurs lestes
Cambrée sur tes cuissardes de cuir
tu fais claquer les 9 queues de ta cravache
d'un air sévère dominateur et bravache
pour me soumettre et à la douleur m'instruire
Tu m'avilis et me domines
Tu me traites de lopette
en abaissant ma salopette
pour m'infliger ta discipline
J'offre mes chairs à tes fessées
soumis à tes plaisirs inavouables
docile admiratif et vulnérable
toutes mes envies je dois te confesser
Tu m'imposes les bonnes manières.
Quasi nue , en string de skaï noir,
tu guettes, voluptueuse mon espoir,
faisant claquer tes terribles lanières
Dans la chambre tout est luxe et velours
les gémissements de ton esclave honteux
répondent à ton châtiment fougueux
O cruella, dame aux seins lourds
Ta main lascive sur ma peau nue
soulève ma dure émotion bien venue
perverse, maîtresse au regard de braise
tu me demandes enfin l'ultime ascèse :
Du bout des dents, je dénoue la ficelle de skaï
j'insuffle ma sève, mon dernier zeste de venin
au creux de ton être o combien féminin
d'un coup de rein j'entre en tes entrailles
Avant de m'envoyer ad Patrès, dans l'au delà
réfléchis bien à ton ultime geste
car sans moi rien d'autre ne te reste
que ta douce violence , maîtresse Cruella
On m' a affublé du joli sobriquet de sado « maldo »
alors je défends ici érotiquement (poétiquement?) ma réputation
c'eut pu être bien pire , laissez aller un peu votre imagination
s'il se fut agi d'une contre pétrie et que je fusse devenu « salo » maldo !
je voudrais te faire une révélation
afin que tu prennes tes dispositions
pour assurer ta survie émotionnelle
Tu me causes de vives douleurs
tu te nourris de mes souffrances
tu m'infliges tant de pénitences
et tu te repais de mes malheurs
Tu blesses et tu molestes
mon corps et mon esprit
je n'ai toujours pas compris
pourquoi toutes tes ardeurs lestes
Cambrée sur tes cuissardes de cuir
tu fais claquer les 9 queues de ta cravache
d'un air sévère dominateur et bravache
pour me soumettre et à la douleur m'instruire
Tu m'avilis et me domines
Tu me traites de lopette
en abaissant ma salopette
pour m'infliger ta discipline
J'offre mes chairs à tes fessées
soumis à tes plaisirs inavouables
docile admiratif et vulnérable
toutes mes envies je dois te confesser
Tu m'imposes les bonnes manières.
Quasi nue , en string de skaï noir,
tu guettes, voluptueuse mon espoir,
faisant claquer tes terribles lanières
Dans la chambre tout est luxe et velours
les gémissements de ton esclave honteux
répondent à ton châtiment fougueux
O cruella, dame aux seins lourds
Ta main lascive sur ma peau nue
soulève ma dure émotion bien venue
perverse, maîtresse au regard de braise
tu me demandes enfin l'ultime ascèse :
Du bout des dents, je dénoue la ficelle de skaï
j'insuffle ma sève, mon dernier zeste de venin
au creux de ton être o combien féminin
d'un coup de rein j'entre en tes entrailles
Avant de m'envoyer ad Patrès, dans l'au delà
réfléchis bien à ton ultime geste
car sans moi rien d'autre ne te reste
que ta douce violence , maîtresse Cruella
On m' a affublé du joli sobriquet de sado « maldo »
alors je défends ici érotiquement (poétiquement?) ma réputation
c'eut pu être bien pire , laissez aller un peu votre imagination
s'il se fut agi d'une contre pétrie et que je fusse devenu « salo » maldo !
MALDOROR- Messages : 467
sado maldo
eh bien Maldo que lis-je ? il me semble que tu as lu plus que les 150 premières pages de 50 nuances de Grey loll
très joli texte et sado maldo bien trouvé
très joli texte et sado maldo bien trouvé
Milady- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Dans ma chambre aux lumières tamisées
J'attends impatiemment de te dominer
J'ai préparé pour toi l'ultime punition
Le châtiment de ma seule création
Tu arrives enfin et tu dois te soumettre
À mes désirs et à mes mains expertes
Plus tu me demandes de te faire mal
Et plus en moi monte un désir béstial
Ma tenue sexy et ma cravache t'excitent terriblement
Du bout de mes doigts j'effleure ton corps tremblant
Tu aimerais me toucher, me caresser
Mais le moment n'est pas encore arrivé
Avant tout je veux t'endendre crier, me supplier
Me dire que tu désires être copieusement fesser
De ma cravache j'exécuterai alors cette punition
Qui fera monter en moi une réelle passion
Plus tu me supplieras et plus je serai excitée
Je t'infligerai cette correction bien méritée
Je t'obligerai à lécher mes cuissardes cirées
Tu exécuteras mes ordres sans discuter
Tu seras mon jouet; l'objet de tous mes désirs
De ma folie douce de laquelle je m'inspire
Je veux entendre tes cris comme des supplices
Pour faire monter en moi un immense délice
Tu n'auras d'autres choix que celui de m'obeïr
Durant ces quelques heures tu deviendras mon sbire
Ensuite je te laisserai prendre possession de mon corps
Et durant de longues heures j'en redemenderai encore
Tu devras là aussi éxecuter tous mes désirs
Et boire à la source mon enivrant élixir
Tu exécuteras mes envies et folies sans faiblir
Sinon tu devras encore et encore subir
Le "mal d'Aurore" aura définitivement disparu
Pour laisser place à une puissance plus accrue
Le grand maître "sado maldo" que tu es
Sera en cet instant, aux prises dans mes filets
J'attends impatiemment de te dominer
J'ai préparé pour toi l'ultime punition
Le châtiment de ma seule création
Tu arrives enfin et tu dois te soumettre
À mes désirs et à mes mains expertes
Plus tu me demandes de te faire mal
Et plus en moi monte un désir béstial
Ma tenue sexy et ma cravache t'excitent terriblement
Du bout de mes doigts j'effleure ton corps tremblant
Tu aimerais me toucher, me caresser
Mais le moment n'est pas encore arrivé
Avant tout je veux t'endendre crier, me supplier
Me dire que tu désires être copieusement fesser
De ma cravache j'exécuterai alors cette punition
Qui fera monter en moi une réelle passion
Plus tu me supplieras et plus je serai excitée
Je t'infligerai cette correction bien méritée
Je t'obligerai à lécher mes cuissardes cirées
Tu exécuteras mes ordres sans discuter
Tu seras mon jouet; l'objet de tous mes désirs
De ma folie douce de laquelle je m'inspire
Je veux entendre tes cris comme des supplices
Pour faire monter en moi un immense délice
Tu n'auras d'autres choix que celui de m'obeïr
Durant ces quelques heures tu deviendras mon sbire
Ensuite je te laisserai prendre possession de mon corps
Et durant de longues heures j'en redemenderai encore
Tu devras là aussi éxecuter tous mes désirs
Et boire à la source mon enivrant élixir
Tu exécuteras mes envies et folies sans faiblir
Sinon tu devras encore et encore subir
Le "mal d'Aurore" aura définitivement disparu
Pour laisser place à une puissance plus accrue
Le grand maître "sado maldo" que tu es
Sera en cet instant, aux prises dans mes filets
Cruella- Invité
ode a Cruella
petite rectification je pensais avoir deviné à qui était destiné l'ode en question mais ce n'est pas elle qui y a répondu, je me suis donc trompée dommage sa réponse n'était pas aussi sado mais très belle quand même.
milady- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Cruella n’est pas obligatoirement une personne réelle
J’ai voulu utiliser une fiction , certes un peu érotico-cruelle
Pour exprimer combien chacun d’entre nous porte une part de masochisme
Et aborder ainsi le sujet des violences entre humains et des schismes
Les déchirements sadiques, hélas sont loin d’être une hérésie
Un sadisme profond habite même d’ailleurs intrinsèquement la poésie
Le poète avec délectation déracine les mots sur sa page
Il est licencieux et se plait souvent à faire violence au langage
Au demeurant je vous signale que sur ma table de chevet
Il y a bien plus de livres de poésie que de godemichets
Et bien plus de parfums de fleurs romantiques
Que d’odeurs de vaseline et de stupre lubriques
Vous aurez je l’ espère maintenant bien compris
Que derrière les mots ne se cache pas toujours le mauvais esprit
N’en déplaise aux adeptes des perversions et des outrages
Maldoror n’est rien d’autre qu’un petit baladin presque sage !
J’ai voulu utiliser une fiction , certes un peu érotico-cruelle
Pour exprimer combien chacun d’entre nous porte une part de masochisme
Et aborder ainsi le sujet des violences entre humains et des schismes
Les déchirements sadiques, hélas sont loin d’être une hérésie
Un sadisme profond habite même d’ailleurs intrinsèquement la poésie
Le poète avec délectation déracine les mots sur sa page
Il est licencieux et se plait souvent à faire violence au langage
Au demeurant je vous signale que sur ma table de chevet
Il y a bien plus de livres de poésie que de godemichets
Et bien plus de parfums de fleurs romantiques
Que d’odeurs de vaseline et de stupre lubriques
Vous aurez je l’ espère maintenant bien compris
Que derrière les mots ne se cache pas toujours le mauvais esprit
N’en déplaise aux adeptes des perversions et des outrages
Maldoror n’est rien d’autre qu’un petit baladin presque sage !
MALDOROR- Messages : 467
ode a Cruella
j aime bien le presque sage !!Je ne pensais pas à quelqu'un par arpport au pseudo Cruella mais je me référais au sado maldo lol
je retourne dans ma bulle lol et je me tais !
je retourne dans ma bulle lol et je me tais !
milady- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Il est vrai que la réctification était importante
Hors de ma vue infâmes bêtes répugnantes !
Il ne peut et n'y aura jamais deux Cruella
Je suis la seule reine de nos innombrables ébats !
Aucunes marginales ne sera jamais à la hauteur
De mes châtiments et de leurs érotiques douleurs
Les punitions infligées sont d'une telle ampleur
Que vos yeux de femmes du monde prendraient peur !
C'est un jeu auquel nous nous adonnons et que nous aimons
Le pouvoir de la force des désirs intenses et de la soumission
Nous prenons notre plaisir dans d'incessants jeux érotiques
Qui vous feraient rougir de honte, vous Mesdames les pudiques !
Nous, les seuls rougeurs que nous aimons et que nous voulons
Sont celles des marques de mon fouet dans la douleur et la punition !
Il ne faut pas chercher le pourquoi du comment autre part
Que dans les règles de la soumission, domination et art !
Alors crions-le ! Vadé rétro Satanas !
Hors de ma vue toutes ces molasses !
Allez jouer ailleurs que dans la cour de Cruella !
Vous êtes trop petites et ne faîtes pas le poids !
Qui d'autre que la reine du sadomasochisme
Peut faire connaître à "sado maldo" un tel bonheur ?
Nous trouvons notre apogée dans le fétichisme
Et nous aimons l'amour dans la puissance de ces douleurs !
Les punitions infligées sont un véritable bonheur
Celles qu'il me donne sont encore bien meilleures !
Nous prenons un plaisir immense dans ces jeux
Et je défie quiconque voudrait y mettre ses yeux !
"Sado maldo" est à moi ! il m'appartient !
C'est mon jouet tout comme je suis le sien !
Je le possède, je le domine, je le fouette et il aime ça !
Je suis sa chose, il est la mienne et on s'aime comme ça !
Il est soumis à moi tout comme je le suis pour lui
Nos jeux durent parfois plusieurs jours et nuits !
Nous aimons tous les deux la perversion
De ces jeux nous sommes des champions !
Il ne peut se passer de moi, tout comme moi !
Personne ne se mettra jamais au travers de ce que l'on vit !
Il m'appartient depuis longtemps; il a fait son choix !
Nous nous prouvons dans la douleur l'amour qui nous cuit !
Tu oses dire que je n'éxiste pas ??
Comment peux-tu oser dire cela ??
Tu seras fouetté sévérement pour cette infâme calomnie
Des lanières de mon fouet tu seras copieusement punis
Tu as reveillé Cruella qui dormait tranquillement
Tu vas devoir assumer ses tortures maintenant
Je me donnerai corps et âme pour toi jusqu'à la fin
Mais pour se faire tu dois accepter notre destin
Tu dis n'avoir que des livres de poésie sur ton chevet
Mais tu oublies que tu y ranges également ton martinet
Moi je le sais et j'aime tes tortures en lisant de la poésie
Rien de tel que Baudelaire pour pousser de jolis cris
Hors de ma vue infâmes bêtes répugnantes !
Il ne peut et n'y aura jamais deux Cruella
Je suis la seule reine de nos innombrables ébats !
Aucunes marginales ne sera jamais à la hauteur
De mes châtiments et de leurs érotiques douleurs
Les punitions infligées sont d'une telle ampleur
Que vos yeux de femmes du monde prendraient peur !
C'est un jeu auquel nous nous adonnons et que nous aimons
Le pouvoir de la force des désirs intenses et de la soumission
Nous prenons notre plaisir dans d'incessants jeux érotiques
Qui vous feraient rougir de honte, vous Mesdames les pudiques !
Nous, les seuls rougeurs que nous aimons et que nous voulons
Sont celles des marques de mon fouet dans la douleur et la punition !
Il ne faut pas chercher le pourquoi du comment autre part
Que dans les règles de la soumission, domination et art !
Alors crions-le ! Vadé rétro Satanas !
Hors de ma vue toutes ces molasses !
Allez jouer ailleurs que dans la cour de Cruella !
Vous êtes trop petites et ne faîtes pas le poids !
Qui d'autre que la reine du sadomasochisme
Peut faire connaître à "sado maldo" un tel bonheur ?
Nous trouvons notre apogée dans le fétichisme
Et nous aimons l'amour dans la puissance de ces douleurs !
Les punitions infligées sont un véritable bonheur
Celles qu'il me donne sont encore bien meilleures !
Nous prenons un plaisir immense dans ces jeux
Et je défie quiconque voudrait y mettre ses yeux !
"Sado maldo" est à moi ! il m'appartient !
C'est mon jouet tout comme je suis le sien !
Je le possède, je le domine, je le fouette et il aime ça !
Je suis sa chose, il est la mienne et on s'aime comme ça !
Il est soumis à moi tout comme je le suis pour lui
Nos jeux durent parfois plusieurs jours et nuits !
Nous aimons tous les deux la perversion
De ces jeux nous sommes des champions !
Il ne peut se passer de moi, tout comme moi !
Personne ne se mettra jamais au travers de ce que l'on vit !
Il m'appartient depuis longtemps; il a fait son choix !
Nous nous prouvons dans la douleur l'amour qui nous cuit !
Tu oses dire que je n'éxiste pas ??
Comment peux-tu oser dire cela ??
Tu seras fouetté sévérement pour cette infâme calomnie
Des lanières de mon fouet tu seras copieusement punis
Tu as reveillé Cruella qui dormait tranquillement
Tu vas devoir assumer ses tortures maintenant
Je me donnerai corps et âme pour toi jusqu'à la fin
Mais pour se faire tu dois accepter notre destin
Tu dis n'avoir que des livres de poésie sur ton chevet
Mais tu oublies que tu y ranges également ton martinet
Moi je le sais et j'aime tes tortures en lisant de la poésie
Rien de tel que Baudelaire pour pousser de jolis cris
Cruella- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Cruella , en moi, tu as lu comme en un livre ouvert
Tu sais combien je me délecte à ouvrir les livres
Alors avec toi, sans honte je m’y livre
Je te confesse ici mon fantasme, tout en vers :
Tes hanches rondes et voluptueuses
Ondulent d’une danse langoureuse
Sous ta robe légère et vaporeuse
Je devine tes jambes douces et pulpeuses
Comme le livre de nos intimes secrets
J’entrouvre tes longues cuisses blanches et nues
Je m’y plonge pour y lire tes vagues de désirs
Et assouvir jusqu’à ton moindre subtil plaisir
Ma langue taquine et experte
Glisse vers l’ombre de ta toison secrète
Je découvre ton petit bouton de rose palpitant
Je le chatouille et l’avale comme un excitant
De nos attouchements pleins de douceur
Jaillit le jus de l ‘amour bienfaiteur
Je m’enivre des chauds tésors de ta fente
Je bois l’élixir à petites goulées lentes
Je m’abreuve à ton ventre incandescent
à ton calice des délices, ouvert et indécent
que nos longues et humides caresses
Jamais ne tarissent et ne cessent !
La vague amoureuse creuse et fouille
larmes d'écumes , douloureux souvenirs
vains espoirs , pleurs, ardeurs et désirs
Les berges de ton coeur se mouillent
onde de plaisirs , chuchotis de mon vit
va-et-vient, lancinant clapotis
Mon glaive de chair et de sang inonde tes appâts
Je me meurs en toi ,Ô qu’il est doux ce trépas !
Nos corps lovés au fond de l ‘alcôve
S’agitent de spasmes de fauves
Ma chair turgescente frisonne
en brûlant ton antre profonde et polissonne
Mes sens tendus comme un cheval cabré
Mon glorieux (éten)dard fièrement dressé
Se laissent emporter dans ton mouvement infini
Ô my « Cruella » Ô my « gode » , " Eloï, lamma sabachtami."
Tu sais combien je me délecte à ouvrir les livres
Alors avec toi, sans honte je m’y livre
Je te confesse ici mon fantasme, tout en vers :
Tes hanches rondes et voluptueuses
Ondulent d’une danse langoureuse
Sous ta robe légère et vaporeuse
Je devine tes jambes douces et pulpeuses
Comme le livre de nos intimes secrets
J’entrouvre tes longues cuisses blanches et nues
Je m’y plonge pour y lire tes vagues de désirs
Et assouvir jusqu’à ton moindre subtil plaisir
Ma langue taquine et experte
Glisse vers l’ombre de ta toison secrète
Je découvre ton petit bouton de rose palpitant
Je le chatouille et l’avale comme un excitant
De nos attouchements pleins de douceur
Jaillit le jus de l ‘amour bienfaiteur
Je m’enivre des chauds tésors de ta fente
Je bois l’élixir à petites goulées lentes
Je m’abreuve à ton ventre incandescent
à ton calice des délices, ouvert et indécent
que nos longues et humides caresses
Jamais ne tarissent et ne cessent !
La vague amoureuse creuse et fouille
larmes d'écumes , douloureux souvenirs
vains espoirs , pleurs, ardeurs et désirs
Les berges de ton coeur se mouillent
onde de plaisirs , chuchotis de mon vit
va-et-vient, lancinant clapotis
Mon glaive de chair et de sang inonde tes appâts
Je me meurs en toi ,Ô qu’il est doux ce trépas !
Nos corps lovés au fond de l ‘alcôve
S’agitent de spasmes de fauves
Ma chair turgescente frisonne
en brûlant ton antre profonde et polissonne
Mes sens tendus comme un cheval cabré
Mon glorieux (éten)dard fièrement dressé
Se laissent emporter dans ton mouvement infini
Ô my « Cruella » Ô my « gode » , " Eloï, lamma sabachtami."
MALDOROR- Messages : 467
ode a Cruella
Me re mais pour la dernière fois je vais arrêter de contrarier vos ébats épistolaires et vous laisser savourer vos plaisirs imaginaires à satiété.
Milady- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Bien sûr que je t'ai reconnu et que je sais
Qui d'autres que moi sais réellement qui tu es ?
Ne dis plus jamais que je n'existe pas
Où définitivement et à jamais tu me perdras
Pourquoi parler d'un fantasme ?
Tu n'as pas à faire à une molasse
Tout fantasme devient réalité
Quand de mes mains tu es possédé
Lorsque les supplices de la punition sont terminés
Ceux infligés pour corriger les mauvaises pensées
L'amour devient alors beaucoup plus puissant
Nous connaissons tous les deux son aboutissement
De mes mains devenues douces et calines
Tu n'es plus l'objet d'une punition divine
Tu deviens en cet instant merveilleux
Le seul être pour qui brille mes yeux
Après avoir gouté aux lanières de mon fouet
Celui qui n'existe que pour savoir qui tu es
Je deviens à mon tour ton jouet de plaisir
Et je te laisse libre de tes moindres désirs
Tu dois évidemment tout faire pour me combler
Et de ce jeu de séduction, tu es éxtêmement doué
Tu sais satisfaire toutes mes pulsions et envies
Et faire monter en moi un plaisir inégalé et infini
Tu sais me faire monter en puissance
Au travers d'incessantes jouissances
Tes mains deviennent après ces punitions intenses
De véritables armes qui sont à ma convenance
Si par mon fouet je sais te satisfaire
De tes mains tu fais tout pour me plaire
Le plaisir que toi seul me procure
N'est vraiment pas une sinécure
Lorsque tu arraches d'un geste sûr et élégant
Le peu de tissus qu'il reste sur mon corps brûlant
Le pouvoir d'être possédée monte en puissance
Plus rien autour d'a la moindre importance
Ta langue sachant me parcourir habilement
Jusqu'à ce que monte en moi un plaisir géant
Mon corps est en ébulition à chacunes de tes caresses
Toi seul sait lui imposer cette éxtrême délicatesse
Lorsque tu plonges au plus profond de mes entrailles
Te servant de ton "outil" comme d'une mitraille
Ces puissants mouvements de coulissements
Apportent en moi un véritable enchantement
Qui d'autres que moi sais réellement qui tu es ?
Ne dis plus jamais que je n'existe pas
Où définitivement et à jamais tu me perdras
Pourquoi parler d'un fantasme ?
Tu n'as pas à faire à une molasse
Tout fantasme devient réalité
Quand de mes mains tu es possédé
Lorsque les supplices de la punition sont terminés
Ceux infligés pour corriger les mauvaises pensées
L'amour devient alors beaucoup plus puissant
Nous connaissons tous les deux son aboutissement
De mes mains devenues douces et calines
Tu n'es plus l'objet d'une punition divine
Tu deviens en cet instant merveilleux
Le seul être pour qui brille mes yeux
Après avoir gouté aux lanières de mon fouet
Celui qui n'existe que pour savoir qui tu es
Je deviens à mon tour ton jouet de plaisir
Et je te laisse libre de tes moindres désirs
Tu dois évidemment tout faire pour me combler
Et de ce jeu de séduction, tu es éxtêmement doué
Tu sais satisfaire toutes mes pulsions et envies
Et faire monter en moi un plaisir inégalé et infini
Tu sais me faire monter en puissance
Au travers d'incessantes jouissances
Tes mains deviennent après ces punitions intenses
De véritables armes qui sont à ma convenance
Si par mon fouet je sais te satisfaire
De tes mains tu fais tout pour me plaire
Le plaisir que toi seul me procure
N'est vraiment pas une sinécure
Lorsque tu arraches d'un geste sûr et élégant
Le peu de tissus qu'il reste sur mon corps brûlant
Le pouvoir d'être possédée monte en puissance
Plus rien autour d'a la moindre importance
Ta langue sachant me parcourir habilement
Jusqu'à ce que monte en moi un plaisir géant
Mon corps est en ébulition à chacunes de tes caresses
Toi seul sait lui imposer cette éxtrême délicatesse
Lorsque tu plonges au plus profond de mes entrailles
Te servant de ton "outil" comme d'une mitraille
Ces puissants mouvements de coulissements
Apportent en moi un véritable enchantement
Cruella- Invité
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Tes vers sont si profonds que je n’ose y croire
mon fantasme ne serait donc pas un vain espoir ?
J'ai vu tous les esthètes venir t’admirer
tous les poètes venir t‘émoustiller , te jalouser
L’ombre de tes courbes m’a chamboulé
J’ai bien cru que tu m’enverrais bouler
Tes traîtres mots doux enfin me rassurent
Derrière les nuages, je vois un coin d’azur
Ô magicienne des coups et de la douleur
Tu ouvres une brèche béante dans mon cœur
Les mots sortis de ta plume sont un élixir enivrant
Les caresses de ta main , un délicieux onguent
Tes coups de cravache rendent mon corps pur
Tes flèches acérées percent mon armure
Je suis pris dans tes rets , maîtresse violente
Je prie pour que mon agonie soit très lente
Je veux encore m’exposer aux rayons cruels de tes yeux
Qui franchissent l’écran de mon vieil ordinateur miteux
Je veux encore entendre tes gémissements
Sous les regards (en)vieux et concupiscents
Je ne dirai plus le détail de nos combats
Je garde en secret la chaleur de nos ébats
Je les garde pour moi, afin de plus choquer Mila
Je m’abandonne au regard envoûtant de maîtresse Cruella
mon fantasme ne serait donc pas un vain espoir ?
J'ai vu tous les esthètes venir t’admirer
tous les poètes venir t‘émoustiller , te jalouser
L’ombre de tes courbes m’a chamboulé
J’ai bien cru que tu m’enverrais bouler
Tes traîtres mots doux enfin me rassurent
Derrière les nuages, je vois un coin d’azur
Ô magicienne des coups et de la douleur
Tu ouvres une brèche béante dans mon cœur
Les mots sortis de ta plume sont un élixir enivrant
Les caresses de ta main , un délicieux onguent
Tes coups de cravache rendent mon corps pur
Tes flèches acérées percent mon armure
Je suis pris dans tes rets , maîtresse violente
Je prie pour que mon agonie soit très lente
Je veux encore m’exposer aux rayons cruels de tes yeux
Qui franchissent l’écran de mon vieil ordinateur miteux
Je veux encore entendre tes gémissements
Sous les regards (en)vieux et concupiscents
Je ne dirai plus le détail de nos combats
Je garde en secret la chaleur de nos ébats
Je les garde pour moi, afin de plus choquer Mila
Je m’abandonne au regard envoûtant de maîtresse Cruella
MALDOROR- Messages : 467
Re: Ode à Maîtresse Cruella
Pardon pour mes paroles bien innocentes
Je ne les croyais pas si lourdes et si indécentes
Pardonnez moi ma naïveté ,ma grossiéreté, mon ignorance
Comment aurais-je pu imaginer la force des apparences
Je souris tendrement au monstre que j’ai crée
Il est devenu presque humain, presque familier
Je l’imagine avec moi , prendre un petit déjeuner
J’oserais presque lui chatouiller le bout du nez
De Frankenstein , je ne suis pas une nouvelle version
Je n’ ai pas assez de talent ni de perversion
Et si je m’enflamme un peu trop souvent
S’est parce que l’humour est mon carburant
Pardonnez moi d’avoir franchi toutes les barrières
J’ai pitié de moi, quand je me retourne en arrière
J’avais espérer changer les mots en étoiles
Et c’est les ombres de l’humanité que je dévoile
Pardonnez moi d’avoir exhibé sexes et fesses
Dans des postures bien trop hard, je le confesse
Tout çà c’est de la faute de la belle Cruella
Pour mes propos horribles, acceptez mon mea culpa
Je ne les croyais pas si lourdes et si indécentes
Pardonnez moi ma naïveté ,ma grossiéreté, mon ignorance
Comment aurais-je pu imaginer la force des apparences
Je souris tendrement au monstre que j’ai crée
Il est devenu presque humain, presque familier
Je l’imagine avec moi , prendre un petit déjeuner
J’oserais presque lui chatouiller le bout du nez
De Frankenstein , je ne suis pas une nouvelle version
Je n’ ai pas assez de talent ni de perversion
Et si je m’enflamme un peu trop souvent
S’est parce que l’humour est mon carburant
Pardonnez moi d’avoir franchi toutes les barrières
J’ai pitié de moi, quand je me retourne en arrière
J’avais espérer changer les mots en étoiles
Et c’est les ombres de l’humanité que je dévoile
Pardonnez moi d’avoir exhibé sexes et fesses
Dans des postures bien trop hard, je le confesse
Tout çà c’est de la faute de la belle Cruella
Pour mes propos horribles, acceptez mon mea culpa
MALDOROR- Messages : 467
professeur tournesol
Quand vous serez redevenu enfant dans l’âme
Jouant de votre art délicieux sur un coussin
Peut-être, j'entendrais votre silence coquin
Vous m’avez estimée un jour jusqu’aux larmes;
D’autres vieux poètes ont remplacé vos armes
André Chenier, Ronsard, ne sont que vos cousins !
Pourtant, ils ont été cent fois moins vipérin ;
Non, ce jeu ne sera pas un trou-madame.
Je ferai attention bien sûr à votre âge.
Évitant de devenir un jeu de bondage,
Au risque, que votre cœur d’artichaut ne fonde...
N’oubliez pas en contant fleurette, l’excès.
Pour supporter les élans de femme vexée.
Il vous faudra beaucoup poétiser sur l'onde.
Merci pour tout, une femme poète est née grâce à vous, merci pour cela, bon voyage dans votre vaisseau.
Cadeau qui ne peut être donné qu'ici, ce poème vous appartient, au revoir monsieur tournesol.
Jouant de votre art délicieux sur un coussin
Peut-être, j'entendrais votre silence coquin
Vous m’avez estimée un jour jusqu’aux larmes;
D’autres vieux poètes ont remplacé vos armes
André Chenier, Ronsard, ne sont que vos cousins !
Pourtant, ils ont été cent fois moins vipérin ;
Non, ce jeu ne sera pas un trou-madame.
Je ferai attention bien sûr à votre âge.
Évitant de devenir un jeu de bondage,
Au risque, que votre cœur d’artichaut ne fonde...
N’oubliez pas en contant fleurette, l’excès.
Pour supporter les élans de femme vexée.
Il vous faudra beaucoup poétiser sur l'onde.
Merci pour tout, une femme poète est née grâce à vous, merci pour cela, bon voyage dans votre vaisseau.
Cadeau qui ne peut être donné qu'ici, ce poème vous appartient, au revoir monsieur tournesol.
Pétale..- Invité
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