Farfadets de l'Hiver
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Farfadets de l'Hiver
A petits pas de deux, à petits pas de danse,
L'hiver nous enveloppe et nous givre en silence,
Nous apporte grésil et petits matins blêmes,
Et de flocons de neige doucement nous parsème;
La voie lactée se fige, les étoiles éblouissent,
Cristallisées de gel, petites ambassadrices,
Elles miroitent en silence, résistent au firmament,
Nous offrent la violence d'un reflet de printemps;
Et là dans les méandres séparant les planètes,
Des lutins farfadets et des muses en goguette,
Ont investi l'espace, le changent en marelle
Redessinent des jeux à travers tout le ciel;
Le Père Noël existe, je l'ai de mes yeux vu,
Il est là en chacun, petite flamme éperdue,
Il est les farfadets, les fées et les étoiles,
Il est nos souvenirs, si gigantesque toile;
Firmament mon ami, quand l'hiver se fait dense,
Je te rejoins des yeux, contemple ta mouvance,
Et je salue les fées et les gnomes farceurs,
Qui cultivent l'été comme part de bonheur ..
L'hiver nous enveloppe et nous givre en silence,
Nous apporte grésil et petits matins blêmes,
Et de flocons de neige doucement nous parsème;
La voie lactée se fige, les étoiles éblouissent,
Cristallisées de gel, petites ambassadrices,
Elles miroitent en silence, résistent au firmament,
Nous offrent la violence d'un reflet de printemps;
Et là dans les méandres séparant les planètes,
Des lutins farfadets et des muses en goguette,
Ont investi l'espace, le changent en marelle
Redessinent des jeux à travers tout le ciel;
Le Père Noël existe, je l'ai de mes yeux vu,
Il est là en chacun, petite flamme éperdue,
Il est les farfadets, les fées et les étoiles,
Il est nos souvenirs, si gigantesque toile;
Firmament mon ami, quand l'hiver se fait dense,
Je te rejoins des yeux, contemple ta mouvance,
Et je salue les fées et les gnomes farceurs,
Qui cultivent l'été comme part de bonheur ..
Lunielle- Messages : 17
Re: Farfadets de l'Hiver
Comme la nuit tombe vite
quand l’hiver s’invite
comme la lumière s’irise
quand Lunielle poétise
Les hirondelles sont parties
une bisontine est de sortie
Lunielle est revenue en douceur
pour faire resplendir les couleurs
Le soleil brille pâle et doux
sous sa plume au rendez-vous
béat, je ne sais plus que dire
alors, ma révérence je lui tire
quand l’hiver s’invite
comme la lumière s’irise
quand Lunielle poétise
Les hirondelles sont parties
une bisontine est de sortie
Lunielle est revenue en douceur
pour faire resplendir les couleurs
Le soleil brille pâle et doux
sous sa plume au rendez-vous
béat, je ne sais plus que dire
alors, ma révérence je lui tire
MALDOROR- Messages : 467
Re: Farfadets de l'Hiver
Lu nielle nous fait goûter le miel
et regarder la profondeur du ciel
par les couleurs de l'hiver givré
on se laisse totalement enivrer
Les accents de cette douce complainte
peu à peu se révèlent en demi teinte
Une âme généreuse nous invite
À humer le chocolat Kohler et l’acquavit
K yrielle de douces louanges
O j'entends la voix des anges
H agards devant tes yeux
L a lune dans la splendeur des cieux
E lle m'offre ma couleur originelle
R avi d'une renaissance à nulle autre pareille
et regarder la profondeur du ciel
par les couleurs de l'hiver givré
on se laisse totalement enivrer
Les accents de cette douce complainte
peu à peu se révèlent en demi teinte
Une âme généreuse nous invite
À humer le chocolat Kohler et l’acquavit
K yrielle de douces louanges
O j'entends la voix des anges
H agards devant tes yeux
L a lune dans la splendeur des cieux
E lle m'offre ma couleur originelle
R avi d'une renaissance à nulle autre pareille
MALDOROR- Messages : 467
MALDOROR- Messages : 467
Re: Farfadets de l'Hiver
Bravant les farfadets de l’hiver, les hommes de science
Nous disent tous les jours « faites nous entière confiance
Un et un font deux, deux et deux font quatre
Contre cette imparable logique inutile de vous battre ! »
Ô savants, vous nous enseignez qu’on ne sait rien du tout
Voilà une triste nouvelle , un bien mauvais coup
Votre démonstration brillante reste sombre et vaine
Une ombre de plus portée sur les lacunes humaines
J’ai le regard un peu trop court, mais laissez moi l’espérance
Qu’un jour j’atteindrai l’horizon de vos connaissances
Pourrais-je alors accéder à votre toute puissante science
Permettez moi quand même le doute et la méfiance
Au café du commerce, les torquemadas
En soulevant leur fumeuse tasse
Tiennent des discours un peu fadasses
Mais ô combien plus perspicaces
Entre le bruit de l'oeuf dur cassé sur le comptoir d'étaim
Entre les chansons populaires et les refrains
Entre le lait maternel et le dernier café crême
Entre les arguments ad hominem et les problèmes
Entre le premier alpha et le dernier oméga
Se racontent toutes les vies ,toutes les sagas
Entre l’absolu zéro à le relatif infini
Tout commence ……et tout hélas .... finit
« À petits pas de deux , à petits pas de danse »
Je réfléchis encore et encore en silence
Je recompte lentement sur mes doigts frileux
deux et deux font quatre, un et un font deux !
Ô L’arithmétique, quelle merveille, quel bonheur
La société savante peut compter ses chômeurs et ses erreurs
dans les vapeurs du café du commerce
l'évidence me bouleverse , je tombe à la renverse
ma pensée s'enfuit avec les petits farfadets de l'hiver
Eux au moins, me font rêver avec leur si jolis vers .
Nous disent tous les jours « faites nous entière confiance
Un et un font deux, deux et deux font quatre
Contre cette imparable logique inutile de vous battre ! »
Ô savants, vous nous enseignez qu’on ne sait rien du tout
Voilà une triste nouvelle , un bien mauvais coup
Votre démonstration brillante reste sombre et vaine
Une ombre de plus portée sur les lacunes humaines
J’ai le regard un peu trop court, mais laissez moi l’espérance
Qu’un jour j’atteindrai l’horizon de vos connaissances
Pourrais-je alors accéder à votre toute puissante science
Permettez moi quand même le doute et la méfiance
Au café du commerce, les torquemadas
En soulevant leur fumeuse tasse
Tiennent des discours un peu fadasses
Mais ô combien plus perspicaces
Entre le bruit de l'oeuf dur cassé sur le comptoir d'étaim
Entre les chansons populaires et les refrains
Entre le lait maternel et le dernier café crême
Entre les arguments ad hominem et les problèmes
Entre le premier alpha et le dernier oméga
Se racontent toutes les vies ,toutes les sagas
Entre l’absolu zéro à le relatif infini
Tout commence ……et tout hélas .... finit
« À petits pas de deux , à petits pas de danse »
Je réfléchis encore et encore en silence
Je recompte lentement sur mes doigts frileux
deux et deux font quatre, un et un font deux !
Ô L’arithmétique, quelle merveille, quel bonheur
La société savante peut compter ses chômeurs et ses erreurs
dans les vapeurs du café du commerce
l'évidence me bouleverse , je tombe à la renverse
ma pensée s'enfuit avec les petits farfadets de l'hiver
Eux au moins, me font rêver avec leur si jolis vers .
MALDOROR- Messages : 467
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