Aux couleurs automnales....
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Aux couleurs automnales....
Octobre a revêtu ses beaux habits de brume
Le soleil a fui un univers que la grisaille écume
Peu à peu la lune se prélasse
Le jour à petit pas traîne à prendre sa place
L'oiseau paresse dans son nid douillet s'enroulant de torpeur
La nature se réveille par une caresse de douceur
A présent le paysage se colore rougeoie
Et la brume l'entoure en étoile de soie
Dans le jardin d'hier la rose s'est fanée
sur les gazons jaunis chutent les feuilles rousses
drapant le sol d'un magnifique manteau rouge ocre et doré
les beaux jours s'échappent laissant place à la bruine sur les mousses
La lune se voile aux portes du voyage
l'automne dessine un nouveau paysage
les nuages mousseux dans le ciel se mélangent
et d'un bleu grisonnant s'envolent les mesanges
La feuille rutilante envoûte la lumière
Les arbres incandescents se dressent en bannière
Et l'allée écarlate invite le passant
A fouler ce tapis d'un rouge éblouissant
L'érable s'empourpre le chêne revêt ses tons cuivrés
Dans les jardins publics les bancs sont désertés
les badauds peu curieux du spectacle au foyer sont rentrés
pressés d'apprécier la chaleur apaisante du foyer
Dans chaque chaumière un feu est rallumé
Le chat doucement devant les braisent s'endort
Tandis qu'au fond des bois si loin que le vent peut aller
sonnent les grandes chassent au son troublant du cor
Automne tu chasses l'été et appelles l'hiver
Mais de ton spectacle il ne faut s'en priver
Symphonie automnale tu inspires de doux vers
prélude au manteau blanc qui ne tardera pas à arriver
Berceau de lumière des goûts et des odeurs
L'automne un pays rêvé aux milles couleurs
Suave rugueux doux un lieu de délice
Au senteurs de pain d'épice
Le soleil a fui un univers que la grisaille écume
Peu à peu la lune se prélasse
Le jour à petit pas traîne à prendre sa place
L'oiseau paresse dans son nid douillet s'enroulant de torpeur
La nature se réveille par une caresse de douceur
A présent le paysage se colore rougeoie
Et la brume l'entoure en étoile de soie
Dans le jardin d'hier la rose s'est fanée
sur les gazons jaunis chutent les feuilles rousses
drapant le sol d'un magnifique manteau rouge ocre et doré
les beaux jours s'échappent laissant place à la bruine sur les mousses
La lune se voile aux portes du voyage
l'automne dessine un nouveau paysage
les nuages mousseux dans le ciel se mélangent
et d'un bleu grisonnant s'envolent les mesanges
La feuille rutilante envoûte la lumière
Les arbres incandescents se dressent en bannière
Et l'allée écarlate invite le passant
A fouler ce tapis d'un rouge éblouissant
L'érable s'empourpre le chêne revêt ses tons cuivrés
Dans les jardins publics les bancs sont désertés
les badauds peu curieux du spectacle au foyer sont rentrés
pressés d'apprécier la chaleur apaisante du foyer
Dans chaque chaumière un feu est rallumé
Le chat doucement devant les braisent s'endort
Tandis qu'au fond des bois si loin que le vent peut aller
sonnent les grandes chassent au son troublant du cor
Automne tu chasses l'été et appelles l'hiver
Mais de ton spectacle il ne faut s'en priver
Symphonie automnale tu inspires de doux vers
prélude au manteau blanc qui ne tardera pas à arriver
Berceau de lumière des goûts et des odeurs
L'automne un pays rêvé aux milles couleurs
Suave rugueux doux un lieu de délice
Au senteurs de pain d'épice
Carat- Messages : 54
MORTE SAISON
Sous sa couette de feuilles mortes
Avant que le printemps ne frappe à la porte
Carat nous offre ce beau poème
Brodé de couleurs mordorées que l'on aime
L’aurore blanchit la crête des champs
La brume sème ses perles d’argent
Au creux des sillons des labours
Sur la campagne alentours
Tombe la feuille d’automne
En neige d’or monotone
Dans la forêt en robe rousse
L’écureuil danse sur la mousse
Les arbres élèvent vers les cieux
Leurs bras noirs et noueux
priant pour que jamais ne s’achève
Le cycle de la vie et de la sève
Le vent soupire et murmure
Sa berceuse dans les ramures
Drapée de couleurs sang et or
épuisée la nature s’endort
Avant que le printemps ne frappe à la porte
Carat nous offre ce beau poème
Brodé de couleurs mordorées que l'on aime
L’aurore blanchit la crête des champs
La brume sème ses perles d’argent
Au creux des sillons des labours
Sur la campagne alentours
Tombe la feuille d’automne
En neige d’or monotone
Dans la forêt en robe rousse
L’écureuil danse sur la mousse
Les arbres élèvent vers les cieux
Leurs bras noirs et noueux
priant pour que jamais ne s’achève
Le cycle de la vie et de la sève
Le vent soupire et murmure
Sa berceuse dans les ramures
Drapée de couleurs sang et or
épuisée la nature s’endort
MALDOROR- Messages : 467
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