Ce prisme...
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Ce prisme...
*********
Ce prisme...
Quelques lignes nuancées... il dénébule.
Le paroxisme de certains anonymes.
Ce schisme éveil t-il des antagonismes ?
Il souligne exulte pour n'offenser nul.
La phonémie et l'anomie desuète.
Exalter de cet sensation d'angélisme.
L'histrion farçait avec histrionisme.
Il esquive l'isohyète des poètes.
Les déclarations abracadabrantesques.
L'élocution de son texte pittoresque.
Vînt le cygne entourer de fleurs dicline.
Insufflant philologie et phrenologie.
La cour mâchant leurs hydnes et puis fulmine.
Ce PRISME déflecteur par sa géo "métrie".
Mes "Aïeu"(n.pr.) : Ce Prisme... le 07.08.2012.
**********************************
Ce prisme...
Quelques lignes nuancées... il dénébule.
Le paroxisme de certains anonymes.
Ce schisme éveil t-il des antagonismes ?
Il souligne exulte pour n'offenser nul.
La phonémie et l'anomie desuète.
Exalter de cet sensation d'angélisme.
L'histrion farçait avec histrionisme.
Il esquive l'isohyète des poètes.
Les déclarations abracadabrantesques.
L'élocution de son texte pittoresque.
Vînt le cygne entourer de fleurs dicline.
Insufflant philologie et phrenologie.
La cour mâchant leurs hydnes et puis fulmine.
Ce PRISME déflecteur par sa géo "métrie".
Mes "Aïeu"(n.pr.) : Ce Prisme... le 07.08.2012.
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Mes Aïeu- Invité
Re: Ce prisme...
« Ah ! la belle chose que de savoir quelque chose ! »
Molière l’ a dit à tous ceux qui osent
que voilà céans osés de fort savants propos
savants, mais certes un peu trop doctus cum libro
Ils sont truffés de fautes et de contre sens
et manquent cruellement de cohérence
je tombe sur mon séant devant ce comique
atteint d’une violente loghorée diarrhéique
je diagnostique un manifeste handicap
résitant aux bons soin d’Esculape
je trouve la chose un peu choquante
d’exhiber ainsi une soi-disant plume savante
« De sa science j’eu préféré qu'il se cache
et qu'il ait du savoir sans vouloir qu'on le sache
sans citer les auteurs, sans dire de grands mots
et clouer de l'esprit à ses moindres propos. »
« J'ai cru jusques ici que c'était l'ignorance
qui faisait les grands sots, et non pas la science
Vous avez cru fort mal, et je vous suis garant,
qu'un sot savant est sot plus qu'un sot ignorant. »
Molière l’ a dit à tous ceux qui osent
que voilà céans osés de fort savants propos
savants, mais certes un peu trop doctus cum libro
Ils sont truffés de fautes et de contre sens
et manquent cruellement de cohérence
je tombe sur mon séant devant ce comique
atteint d’une violente loghorée diarrhéique
je diagnostique un manifeste handicap
résitant aux bons soin d’Esculape
je trouve la chose un peu choquante
d’exhiber ainsi une soi-disant plume savante
« De sa science j’eu préféré qu'il se cache
et qu'il ait du savoir sans vouloir qu'on le sache
sans citer les auteurs, sans dire de grands mots
et clouer de l'esprit à ses moindres propos. »
« J'ai cru jusques ici que c'était l'ignorance
qui faisait les grands sots, et non pas la science
Vous avez cru fort mal, et je vous suis garant,
qu'un sot savant est sot plus qu'un sot ignorant. »
gentihom- Invité
Moi pas comprendre , moi un peu bête :)
Quelques lignes nuancées ?????
Je trouve ce mot très limité
La seule nuance que je puisse voir
Etant celle de la plume d'un ignare
La juxtaposition de mots "intelligents"
Dans un texte qui ma foi, ne l'est pas vraiment
N'a jamais donné de jolies phrases pour autant
Et ce que je peux lire dans ce ramassis "tordant"
N'est que la frime d'un esprit tonitruant
Qui utilise quelques mots "savants"
Dans le seul but de montrer ses "connaissances"
Qui ma foi... sont sans doutes au stade de la "naissance"
Les fautes d'orthoraphes et l'incohérence
Ne font pas "bon ménage" avec l'élégance
Et si dans ce texte il y avait un message
Alors j'aimerais le comprendre avant mon "vieil âge"
Si la liberté d'expression appartient à chacun
Elle ferait mieux de rester là où elle est pour certains
Je trouve ce mot très limité
La seule nuance que je puisse voir
Etant celle de la plume d'un ignare
La juxtaposition de mots "intelligents"
Dans un texte qui ma foi, ne l'est pas vraiment
N'a jamais donné de jolies phrases pour autant
Et ce que je peux lire dans ce ramassis "tordant"
N'est que la frime d'un esprit tonitruant
Qui utilise quelques mots "savants"
Dans le seul but de montrer ses "connaissances"
Qui ma foi... sont sans doutes au stade de la "naissance"
Les fautes d'orthoraphes et l'incohérence
Ne font pas "bon ménage" avec l'élégance
Et si dans ce texte il y avait un message
Alors j'aimerais le comprendre avant mon "vieil âge"
Si la liberté d'expression appartient à chacun
Elle ferait mieux de rester là où elle est pour certains
Bebête- Invité
Re: Ce prisme...
Le prisme est certes déformant
le texte bien trop fort ment
les absconses rhétoriques
méritent les foudres de la critique
Ici viennent d’étranges histrions
au propos bien trop abscons
tout ce galimatias amphigourique
pousse évidemment à la philippique
le texte bien trop fort ment
les absconses rhétoriques
méritent les foudres de la critique
Ici viennent d’étranges histrions
au propos bien trop abscons
tout ce galimatias amphigourique
pousse évidemment à la philippique
abskon- Invité
Re: Ce prisme...
Quand on en est à ce stade
On use de quelques rodomontades
N ‘est pas Chateaubriand qui veut
Il faut bien lui en faire céans l’aveu
Ses mots savants alignés sans esprit
Seront irrémédiablement cloués au pilori
On use de quelques rodomontades
N ‘est pas Chateaubriand qui veut
Il faut bien lui en faire céans l’aveu
Ses mots savants alignés sans esprit
Seront irrémédiablement cloués au pilori
1'bu- Invité
Re: Ce prisme...
Ce prisme réfracte une étrange lumière
aux ostentatoires couleurs de rastaquouère
Qui révèlent l’image grotesque
D’ un clown qui se voulait dantesque
De cet étrange émule de Trissotin
je n'aime point tout le baratin
dans ses vers, il m’a tympanisé
avec des mots qui ne sont que billevesées
Ses mots savants alignés sans cohérence
Ne font pas plus illusion que son ignorance
Lui qui se targue d’en être le cuistre auteur
Manque sans doute de recul et de hauteur
La culture et la pseudo- poésie où il se baigne
Lui réservent en retour quelques vilaines beignes
Dispensées par d’anonymes pamphlétaires
Il faut de la diversité pour peupler notre terre
Mais le vrai dindon de la farce
N’est autre que moi qui suit sa trace
Ce qui prouve qu’il m’a piégé dans ses rets
Avec des fadaises sans aucun intérêt
aux ostentatoires couleurs de rastaquouère
Qui révèlent l’image grotesque
D’ un clown qui se voulait dantesque
De cet étrange émule de Trissotin
je n'aime point tout le baratin
dans ses vers, il m’a tympanisé
avec des mots qui ne sont que billevesées
Ses mots savants alignés sans cohérence
Ne font pas plus illusion que son ignorance
Lui qui se targue d’en être le cuistre auteur
Manque sans doute de recul et de hauteur
La culture et la pseudo- poésie où il se baigne
Lui réservent en retour quelques vilaines beignes
Dispensées par d’anonymes pamphlétaires
Il faut de la diversité pour peupler notre terre
Mais le vrai dindon de la farce
N’est autre que moi qui suit sa trace
Ce qui prouve qu’il m’a piégé dans ses rets
Avec des fadaises sans aucun intérêt
d'1 don- Invité
Mots tus
Dans les mots de "mes aieu..."
Plane une impression de déjà vu...
Ce sont "mes-mots" dit "mes-aieu..."!
Mais aieuuuu!!! n'en dis mots veux-tu!
Tous mes maux viennent de" mes-mots"
Evidence, pas besoin de " demo "!
Promis "mes-aieu.." je ne dirai mot
De vos conivences avec "mes- mots"!
Plane une impression de déjà vu...
Ce sont "mes-mots" dit "mes-aieu..."!
Mais aieuuuu!!! n'en dis mots veux-tu!
Tous mes maux viennent de" mes-mots"
Evidence, pas besoin de " demo "!
Promis "mes-aieu.." je ne dirai mot
De vos conivences avec "mes- mots"!
MOTUS- Invité
Re: Ce prisme...
Au début était le verbe
Support de la pensée en herbe
Quelques jolis mots pour dire
quelques riches mots pour écrire
Les mots qui volent sous la plume
les mots qui des étincelles allument
les mots du parfum qui hume
les mots du coeur qui fume
les mots vapeur de l' âme
consumée dans les flammes
les mots des passions, des extases
devenus simples résidus et stases
les mots des terreurs, des jouissances
utilisés à contre sens, dans tous les sens
les mots du poète égrenant ses rimes
pour hurler contre les abominables crimes
le gui de mots passants
bercés, emportés par le vent
le baptiste mot lierre
d'une langue pure et altière
les mots qui caressent et consolent
et puis discrètement s'envolent
les mots marqués au fond de l'âme
du damné couvert d' opprobre et de blâmes
les mots gravés dans le tronc d'un arbre
ciselés sur une froide tombe de marbre
les mots cachés dans le tiroir fermé à clé
qu'on ouvre un jour pour tout bâcler
quelques bribes issues d'une mémoire
quelques mots couchés sur un grimoire
Dans l'âme, ce miroir profond
Le vrai avec le rêve se confond
Le cœur qui s'écrie
Le lapsus-calami qui s' écrit
Les souvenirs que l'on croyait endormis
Dans le passé, et les adieux des amis
Les mots viennent à la surface
Et nous exploser à la face
les tréfonds de l'âme d'un baladin
surgissent un beau matin
du fond d'un étrange réseau neuronal
o certitude , vérité subliminale
la mémoire ,les souvenirs
les sentiments ,les désirs
salmingondis de cris indiscrets
la langue de nos profonds secrets
chante à notre âme de vagabond
la douce mélopée des mots abscons
Support de la pensée en herbe
Quelques jolis mots pour dire
quelques riches mots pour écrire
Les mots qui volent sous la plume
les mots qui des étincelles allument
les mots du parfum qui hume
les mots du coeur qui fume
les mots vapeur de l' âme
consumée dans les flammes
les mots des passions, des extases
devenus simples résidus et stases
les mots des terreurs, des jouissances
utilisés à contre sens, dans tous les sens
les mots du poète égrenant ses rimes
pour hurler contre les abominables crimes
le gui de mots passants
bercés, emportés par le vent
le baptiste mot lierre
d'une langue pure et altière
les mots qui caressent et consolent
et puis discrètement s'envolent
les mots marqués au fond de l'âme
du damné couvert d' opprobre et de blâmes
les mots gravés dans le tronc d'un arbre
ciselés sur une froide tombe de marbre
les mots cachés dans le tiroir fermé à clé
qu'on ouvre un jour pour tout bâcler
quelques bribes issues d'une mémoire
quelques mots couchés sur un grimoire
Dans l'âme, ce miroir profond
Le vrai avec le rêve se confond
Le cœur qui s'écrie
Le lapsus-calami qui s' écrit
Les souvenirs que l'on croyait endormis
Dans le passé, et les adieux des amis
Les mots viennent à la surface
Et nous exploser à la face
les tréfonds de l'âme d'un baladin
surgissent un beau matin
du fond d'un étrange réseau neuronal
o certitude , vérité subliminale
la mémoire ,les souvenirs
les sentiments ,les désirs
salmingondis de cris indiscrets
la langue de nos profonds secrets
chante à notre âme de vagabond
la douce mélopée des mots abscons
MALDOROR- Messages : 467
Re: Ce prisme...
les mots sont des papillons
attrapés dans un filet d’écrivaillon
pour en faire collection
et les épingler sur un carton
les mots sont comme les fleurs
on en savoure les couleurs
et puis on les laisse sécher
entre les pages d'un livre broché
les mots sont comme les rêves
ils nous poursuivent sans trêve
trop de mots deviennent tintamarre
alors le rêve devient cauchemar
les mots sont aussi des souvenirs
comme les photos qu'on ne voit pas jaunir
rangées au fond d'un tiroir
et qu'on ressort d’un geste dérisoire
attrapés dans un filet d’écrivaillon
pour en faire collection
et les épingler sur un carton
les mots sont comme les fleurs
on en savoure les couleurs
et puis on les laisse sécher
entre les pages d'un livre broché
les mots sont comme les rêves
ils nous poursuivent sans trêve
trop de mots deviennent tintamarre
alors le rêve devient cauchemar
les mots sont aussi des souvenirs
comme les photos qu'on ne voit pas jaunir
rangées au fond d'un tiroir
et qu'on ressort d’un geste dérisoire
MALDOROR- Messages : 467
Re: Ce prisme...
Parfois émergent quelques lueurs d’espoir
sur l‘océan , cet immense vase lacrymatoire
des mots lumineux au bout d’une plume intelligente
cultivés par les muses dans la pesante gangue ambiante
L'encre crache ses flots de mots
noircit pages blanches et gris cerveaux
quelques mots empreints de sens et de savoir
peuvent parfois nous émouvoir
Quand sous les auspices de Thalie
ils chaussent les brodequins de la comédie
et lacent les cothurnes de la vraie tragédie
en emboîtant le pas de Melpomène son égérie
Que dire des mots fins de la subtile Polymnie
qui s’envolent dans la rhétorique infinie
tandis que Calliope ,souveraine élégie
nous offre le nectar de la poésie
Ô muse vénale de l’immense Baudelaire
quand tu montre le bout de ton blair :
« Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,
Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir,
Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère,
Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas
Et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas,
Pour faire épanouir la rate du vulgaire »
sur l‘océan , cet immense vase lacrymatoire
des mots lumineux au bout d’une plume intelligente
cultivés par les muses dans la pesante gangue ambiante
L'encre crache ses flots de mots
noircit pages blanches et gris cerveaux
quelques mots empreints de sens et de savoir
peuvent parfois nous émouvoir
Quand sous les auspices de Thalie
ils chaussent les brodequins de la comédie
et lacent les cothurnes de la vraie tragédie
en emboîtant le pas de Melpomène son égérie
Que dire des mots fins de la subtile Polymnie
qui s’envolent dans la rhétorique infinie
tandis que Calliope ,souveraine élégie
nous offre le nectar de la poésie
Ô muse vénale de l’immense Baudelaire
quand tu montre le bout de ton blair :
« Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,
Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir,
Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère,
Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas
Et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas,
Pour faire épanouir la rate du vulgaire »
MALDOROR- Messages : 467
Re: Ce prisme...
Des idées sans aucun fil conducteur poétique
présentées ici en déclinaisons « prismatiques »
ne sont qu’instants ostentatoires factuels
mis en scène sans consistance conceptuelle
Les mots insipides sitôt lus ,sitôt oubliés
n’apprennent rien aux fervents madrigaliser
quand bien même ils accrochent des regards ingénus
alors qu’ils sont bien trop verbeux et circonvenus
Sans présumer de leur avenir artistique
la tentative pour le moins acrobatique
osée par l’auteur impétrant qui se hausse du col
ne fera assurément pas école
Cette littérature de bazar est une insulte
à l’antique théâtre auquel je voue un véritable culte
pas question, pour autant, de censurer ces paroles oiseuses
fussent elles des parangons d’incohérence rimeuse
présentées ici en déclinaisons « prismatiques »
ne sont qu’instants ostentatoires factuels
mis en scène sans consistance conceptuelle
Les mots insipides sitôt lus ,sitôt oubliés
n’apprennent rien aux fervents madrigaliser
quand bien même ils accrochent des regards ingénus
alors qu’ils sont bien trop verbeux et circonvenus
Sans présumer de leur avenir artistique
la tentative pour le moins acrobatique
osée par l’auteur impétrant qui se hausse du col
ne fera assurément pas école
Cette littérature de bazar est une insulte
à l’antique théâtre auquel je voue un véritable culte
pas question, pour autant, de censurer ces paroles oiseuses
fussent elles des parangons d’incohérence rimeuse
1 solent- Invité
maux tus et couche bossue
Je n’aime point les gens prétentieux
et principalement ce monsieur mes aïeux
« les moindres défauts de ce grossier génie
sont ou le pléonasme, ou la cacophonie »
Ce Torquemadas du café du commerce
qui nous prépare sa soupe et tergiverse
à grand coups de billevesées de coquecigrues
autant de paroles servies par une louche incongrue !
« je vis de bonne soupe, et non de beau langage.
Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage
…………….
Il est vrai que l’on sue à souffrir ses discours
Il y met Vaugelas en pièce tous les jours »
Molière à l’inverse, nous renvoie l'image
de la finesse et de l'art subtils entre tous,
lui , au moins ,nous enseigne à rire de nous
voilà ami lecteur ce qu’est un sage.
et principalement ce monsieur mes aïeux
« les moindres défauts de ce grossier génie
sont ou le pléonasme, ou la cacophonie »
Ce Torquemadas du café du commerce
qui nous prépare sa soupe et tergiverse
à grand coups de billevesées de coquecigrues
autant de paroles servies par une louche incongrue !
« je vis de bonne soupe, et non de beau langage.
Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage
…………….
Il est vrai que l’on sue à souffrir ses discours
Il y met Vaugelas en pièce tous les jours »
Molière à l’inverse, nous renvoie l'image
de la finesse et de l'art subtils entre tous,
lui , au moins ,nous enseigne à rire de nous
voilà ami lecteur ce qu’est un sage.
maux cri- Invité
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