Compagne de route
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Compagne de route
Je me rappelle toi et moi,
Je me rappelle notre départ,
Je me rappelle dans ces temps-là,
Qu’il n’y a rien qui nous sépare,
On marchait bras dessus bras dessous,
On était prêt pour l’aventure,
La vie avait bon goût,
Et nos cœurs étaient si purs,
Le chemin semblait léger,
On rigolait, le regard complice,
Rien ne pouvait nous arrêter,
C’était un vrai délice
Maintenant ils semblent si lointains,
Ces moments de pur bonheur,
On marche encore sur le même chemin,
Mais plus avec les mêmes cœurs,
Pourquoi je ne vois plus la femme,
Mais seulement la mère ?
Pourquoi je ne sens plus cette flamme,
Envers celle que je préfère ?
Que s’est t-il passé ?
Où on s’est perdu ?
Où tout à changé ?
Comment on continue ?
Les quelques mètres entre nous,
Paraissent des fois un désert étendu,
Car la pluie de tes mots doux,
Mon cœur ne la reçoit plus
Et Pourtant, il suffit de quelques pas,
Pour qu’on se retrouve, toi et moi ….
Je me rappelle notre départ,
Je me rappelle dans ces temps-là,
Qu’il n’y a rien qui nous sépare,
On marchait bras dessus bras dessous,
On était prêt pour l’aventure,
La vie avait bon goût,
Et nos cœurs étaient si purs,
Le chemin semblait léger,
On rigolait, le regard complice,
Rien ne pouvait nous arrêter,
C’était un vrai délice
Maintenant ils semblent si lointains,
Ces moments de pur bonheur,
On marche encore sur le même chemin,
Mais plus avec les mêmes cœurs,
Pourquoi je ne vois plus la femme,
Mais seulement la mère ?
Pourquoi je ne sens plus cette flamme,
Envers celle que je préfère ?
Que s’est t-il passé ?
Où on s’est perdu ?
Où tout à changé ?
Comment on continue ?
Les quelques mètres entre nous,
Paraissent des fois un désert étendu,
Car la pluie de tes mots doux,
Mon cœur ne la reçoit plus
Et Pourtant, il suffit de quelques pas,
Pour qu’on se retrouve, toi et moi ….
VOYAGEUR- Messages : 2
A un voyageur égaré ....
Il arrive qu’au bonheur succède la routine,
On croit qu’elle le remplace, mais c’est bien se tromper,
A cultiver l’instant, le fort, et le sublime,
Ou oublierait parfois comment les retrouver …
Voyageur mon ami, la route est incertaine,
La vie donne souvent pour reprendre un peu mieux,
Alors derrière les murs, la poussière des rimes,
Il faut savoir toujours tenter de nouveaux jeux …
Redécouvrir matin des yeux et un visage,
S’ouvrir contre un corps qui nous semblait lointain,
Parcourir de nouveaux horizons et voyages,
Redessiner le monde dans le creux d’une main …
La distance est en nous, chaque épine la creuse,
Chaque jour pluvieux, et chaque bleu au cœur,
Mais soigner ces blessures, cette usure tueuse,
Tu le peux chaque jour, chaque seconde, chaque heure ….
Pense à ce qui te manque, et que tu possédais,
Invente des mots crus, et puis des mots de rêve,
Recrée dans le présent la femme que tu aimais,
Habille-la de désir, invente-la sans trêve …
Car si tu la perdais, le vide serait immense,
Les couleurs dont tu pares vos anciens émois,
Écrivent mieux que d’autres cet amour intense,
Qui vous liait si fort, que tu regrettes là …
Cet amour bien caché, il est toujours immense,
Fais donc place aux frissons, au désir et au jeu,
Pour rallumer la flamme toujours frissonnante,
Et recréer ensemble un présent amoureux ….
On croit qu’elle le remplace, mais c’est bien se tromper,
A cultiver l’instant, le fort, et le sublime,
Ou oublierait parfois comment les retrouver …
Voyageur mon ami, la route est incertaine,
La vie donne souvent pour reprendre un peu mieux,
Alors derrière les murs, la poussière des rimes,
Il faut savoir toujours tenter de nouveaux jeux …
Redécouvrir matin des yeux et un visage,
S’ouvrir contre un corps qui nous semblait lointain,
Parcourir de nouveaux horizons et voyages,
Redessiner le monde dans le creux d’une main …
La distance est en nous, chaque épine la creuse,
Chaque jour pluvieux, et chaque bleu au cœur,
Mais soigner ces blessures, cette usure tueuse,
Tu le peux chaque jour, chaque seconde, chaque heure ….
Pense à ce qui te manque, et que tu possédais,
Invente des mots crus, et puis des mots de rêve,
Recrée dans le présent la femme que tu aimais,
Habille-la de désir, invente-la sans trêve …
Car si tu la perdais, le vide serait immense,
Les couleurs dont tu pares vos anciens émois,
Écrivent mieux que d’autres cet amour intense,
Qui vous liait si fort, que tu regrettes là …
Cet amour bien caché, il est toujours immense,
Fais donc place aux frissons, au désir et au jeu,
Pour rallumer la flamme toujours frissonnante,
Et recréer ensemble un présent amoureux ….
Dernière édition par Lunielle le Sam 14 Avr - 12:54, édité 1 fois
Lunielle- Messages : 17
voyage vers l'espoir
l'espoir est au bout du chemin
ce beau voyage décrit de ta main
crée un peu plus de mystères
Il nous fait décoller de la Terre
voyons les choses essentielles
oublions les vétilles précaires
qui encombrent la terre et le ciel
les écritures et les dictionnaires
il faut chercher la source
au bout de notre course
au fond du puits de la vérité
la vie cache ses causalités
Tu nous fais toucher le ciel
tu nous chantes l'amour essentiel
nous oublions lois et cadastre
nous regardons la course des astres
Cherchons le sens de la vie
la course des étoiles et des hirondelles
fait pousser des ailes
à nos semelles de mortels
voyageur , tu sembles déconvenu
voici enfin l’espoir revenu
tes mots sont pleins de saveur
tes idées limpides comme des lueurs
Merci pour ce voyage si bien décrit
merci d’avoir fait entendre ce cri
tellement puissant et inouï :
« La vie est une dérive vers l’infini »
ce beau voyage décrit de ta main
crée un peu plus de mystères
Il nous fait décoller de la Terre
voyons les choses essentielles
oublions les vétilles précaires
qui encombrent la terre et le ciel
les écritures et les dictionnaires
il faut chercher la source
au bout de notre course
au fond du puits de la vérité
la vie cache ses causalités
Tu nous fais toucher le ciel
tu nous chantes l'amour essentiel
nous oublions lois et cadastre
nous regardons la course des astres
Cherchons le sens de la vie
la course des étoiles et des hirondelles
fait pousser des ailes
à nos semelles de mortels
voyageur , tu sembles déconvenu
voici enfin l’espoir revenu
tes mots sont pleins de saveur
tes idées limpides comme des lueurs
Merci pour ce voyage si bien décrit
merci d’avoir fait entendre ce cri
tellement puissant et inouï :
« La vie est une dérive vers l’infini »
maldoror- Invité
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