pensées du coeur
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pensées du coeur
un murmure lointain, un écho divin
me voilà seule face à mon destin
besoin de paix de solitude
dans ce monde rempli d'ingratitude
suis je une âme sans raison
qui tourne sa vie en dérision
pourquoi ce mal être dans mon cœur
qui me donne tant de rancœur
amour haine amitié
tout ces mots me font pitié
a trop vouloir l'amour
on le perd pour toujours
aujourd'hui je m'aperçois que je suis à bout
j'avance, j'erre dans ce monde de fous
je suis lasse de cette vie
mais pourtant elle n'est pas finie
j'ai envie d'arrêter d'abandonner,
mes êtres tellement chers à mon cœur que j'ai laissés
pourront ils un jour comprendre pourquoi
j'ai eu envie de penser à moi une seule fois
regard de haine, d incompréhension, de trahison
toutes ces personnes ont elles eu raison
je voulais être aimée et donner de l'amour
et résultat on me jugera toujours
me voilà seule face à mon destin
besoin de paix de solitude
dans ce monde rempli d'ingratitude
suis je une âme sans raison
qui tourne sa vie en dérision
pourquoi ce mal être dans mon cœur
qui me donne tant de rancœur
amour haine amitié
tout ces mots me font pitié
a trop vouloir l'amour
on le perd pour toujours
aujourd'hui je m'aperçois que je suis à bout
j'avance, j'erre dans ce monde de fous
je suis lasse de cette vie
mais pourtant elle n'est pas finie
j'ai envie d'arrêter d'abandonner,
mes êtres tellement chers à mon cœur que j'ai laissés
pourront ils un jour comprendre pourquoi
j'ai eu envie de penser à moi une seule fois
regard de haine, d incompréhension, de trahison
toutes ces personnes ont elles eu raison
je voulais être aimée et donner de l'amour
et résultat on me jugera toujours
Invité- Invité
RECUEILLEMENT
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Charles Baudelaire
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici,
Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;
Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Charles Baudelaire
SELRACH- Invité
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