Bohème
Page 1 sur 1
Bohème
Devenez profane, Ô Poète, la Femme vous entend, et même
Ose frémir de tels aveux, de tels mots, si langoureux ....
Que la boite de Pandore reste close, que de Pénélope la laine
Tisse un grand voile sous les cieux, pour des amants aventureux ...
A mélanger le feu et l'encre, on dessine de nouveaux rivages,
On découvre ces paysages, qui étaient pourtant sous nos yeux ...
Bannir tristesse, regrets déchus, et étrenner sans retenue
La fleur du jour sur son corsage, entrouvert par deux mains nues ...
Partager avec vous, Poète, tous ces échanges d'eau et de feu,
Et ne jeter un regard en arrière, que par ultime jeu ...
Offrir à l'Homme qui vous regarde au plus profond, le Bleu
D'une improbable adolescence, nourrie d'un passé nuageux ...
Dessinez-moi Poète, posez couleur et fièvre sur mon âme,
Je ne serai jamais plus belle et claire, plus Femme,
Qu'à travers l'impalpable filigrane de vos mots,
Réécrite sans cesse par des doigts forts et chauds ...
Traversez le miroir, Orphée bohème, Chevalier Noir,
Pour vous revêtir de ce Bleu de Klin d'oeil et d'espoir,
Cette couleur unique que nous goûtons ensemble,
Parallèles de désir, hasards qui nous ressemblent ...
Ose frémir de tels aveux, de tels mots, si langoureux ....
Que la boite de Pandore reste close, que de Pénélope la laine
Tisse un grand voile sous les cieux, pour des amants aventureux ...
A mélanger le feu et l'encre, on dessine de nouveaux rivages,
On découvre ces paysages, qui étaient pourtant sous nos yeux ...
Bannir tristesse, regrets déchus, et étrenner sans retenue
La fleur du jour sur son corsage, entrouvert par deux mains nues ...
Partager avec vous, Poète, tous ces échanges d'eau et de feu,
Et ne jeter un regard en arrière, que par ultime jeu ...
Offrir à l'Homme qui vous regarde au plus profond, le Bleu
D'une improbable adolescence, nourrie d'un passé nuageux ...
Dessinez-moi Poète, posez couleur et fièvre sur mon âme,
Je ne serai jamais plus belle et claire, plus Femme,
Qu'à travers l'impalpable filigrane de vos mots,
Réécrite sans cesse par des doigts forts et chauds ...
Traversez le miroir, Orphée bohème, Chevalier Noir,
Pour vous revêtir de ce Bleu de Klin d'oeil et d'espoir,
Cette couleur unique que nous goûtons ensemble,
Parallèles de désir, hasards qui nous ressemblent ...
Lunielle- Messages : 17
poème-bohème
L’amour est enfant de bohême
tel est le sens caché de ce poème
Amour Amitié Beauté subtilité
le philosophe en exige toute la vérité
Que sont devenus les concepts de Platon
dont nous n'avons plus une claire vision
il faut regarder la lueur de la flamme
pour les voir avec les yeux de l'âme
La puissance la force de nos désirs
c’est le moteur de nos plaisirs
l'énergie de notre coeur emballé,
un cheval fougueux et indiscipliné
Au bout d’une chevauchée vagabonde
On s'éveille , assis au bord du vaste monde
s‘interrogeant:« quelle bête m' habite
qui donc en moi s'impatiente et palpite ? »
tel est le sens caché de ce poème
Amour Amitié Beauté subtilité
le philosophe en exige toute la vérité
Que sont devenus les concepts de Platon
dont nous n'avons plus une claire vision
il faut regarder la lueur de la flamme
pour les voir avec les yeux de l'âme
La puissance la force de nos désirs
c’est le moteur de nos plaisirs
l'énergie de notre coeur emballé,
un cheval fougueux et indiscipliné
Au bout d’une chevauchée vagabonde
On s'éveille , assis au bord du vaste monde
s‘interrogeant:« quelle bête m' habite
qui donc en moi s'impatiente et palpite ? »
ach tür!- Invité
la bohème du prince sous la lune
il était une fois un prince plein de générosité
Il abhorait l ‘intolérance et la vulgarité
Il fomentait les révolutions de l'amour
Il soupçonnait sa compagne de désamour
Il avait soif de vérité, de désir et de plaisirs divins
Il n’avait que le seul pouvoir d’être humain.
Un soir un génie lui apparut une lampe à la main
il y embrasa une torche en un tournemain
Et incendia son palais et ses biens ostentatoires
À ses yeux devenus totalement dérisoires
Le génie d’ un clin d’œil complice
Lui indiqua le chemin du jardin des délices
vers le bonheur indicible, voire insupportable :
plus d’ordinateur, plus de télé, plus de portable
le Génie lui avait enseigné l’ essentiel
il avait bien progressé , les yeux grands ouverts
en écoutant la musique des étoiles dans l’univers
la lune était sa lumière ,son toit c’était le ciel
Il abhorait l ‘intolérance et la vulgarité
Il fomentait les révolutions de l'amour
Il soupçonnait sa compagne de désamour
Il avait soif de vérité, de désir et de plaisirs divins
Il n’avait que le seul pouvoir d’être humain.
Un soir un génie lui apparut une lampe à la main
il y embrasa une torche en un tournemain
Et incendia son palais et ses biens ostentatoires
À ses yeux devenus totalement dérisoires
Le génie d’ un clin d’œil complice
Lui indiqua le chemin du jardin des délices
vers le bonheur indicible, voire insupportable :
plus d’ordinateur, plus de télé, plus de portable
le Génie lui avait enseigné l’ essentiel
il avait bien progressé , les yeux grands ouverts
en écoutant la musique des étoiles dans l’univers
la lune était sa lumière ,son toit c’était le ciel
KOHLER*- Invité
Re: Bohème
Parler autrement à tout le monde
Dire les soubresauts d’une âme furibonde
Passer pour obscur aux yeux des hooligans
Voire ,subir l'exclusion de la foule profane.
Telle est l’ascèse du « petit poucet rêveur
Rimant au milieu des ombres fantastiques
Tirant comme des lyres , les élastiques
De ses souliers blessés, un pied sur son cœur ! »
Dire les soubresauts d’une âme furibonde
Passer pour obscur aux yeux des hooligans
Voire ,subir l'exclusion de la foule profane.
Telle est l’ascèse du « petit poucet rêveur
Rimant au milieu des ombres fantastiques
Tirant comme des lyres , les élastiques
De ses souliers blessés, un pied sur son cœur ! »
RIMBO- Invité
le "beau est mien"
Il chemine , vers l'horizon des anges
l'azur phosphorescent de lumière
glisse sous l'ombre de ses paupières
emplissant sa tête de rêves étranges
Entre ses doigts tremblants
de fines cascades de sable chaud
ramassé sur des rivages tropicaux
s'écoulent et rythment le temps
La douce musique de l'univers
murmure dans l'ombre du vent
la mélopée d'un bonheur enivrant
chanté par quelques pauvres vers
Dans une valse langoureuse
s’immisce sa tête aventureuse
dansant avec les jolis couplets
de quelques pas de feu follet
Il lance dans l 'espace des insomnies
quelques modestes rimes embrassées
venues du fond de sa pensées embarrassée
qui se perdent dans de lointaines galaxies
Autant d'hommages émouvants
pour chanter les émotions éternelles
évanouies parmi les étoiles immortelles
avec des amis envolés dans le vent
Parfois s'il semble perdre la raison
au fil des longues nuits et des lunaisons
c'est pour mieux laisser liberté à son âme
de vagabonder comme une flamme
Emporté par ses rêves et ses songes
il échappe aux guet-apens des intrigants
embusqués entre les étoiles froufroutant
masqués d'hypocrisie et de mensonge
Il plane le cœur léger dans l'ombre du vent
à la rencontre de ses frères connivents
pour alléger le fardeau du temps
enivré de poésie et de mots grandiloquents
sa pensée immortelle
traverse la raison et le réel
c'est le suc d'un fruit sauvage
qui voyage sans bagage
le chemineau espiègle de bohème
sème des énigmes et du hasard
et cherche une main dans le brouillard
pour couronner sa tête d'un diadème
Pour ne plus voir la lumière
du cœur de l'humanité frivole
qui gaspille tout son pactole
il clôt enfin ses paupières
Il écoute le silence sans plus mot dire
et termine son inextricable sabir
en se baignant dans des flots de poésie
et se délectant de nectar et d'ambroisie
Il laisse impunément, sans coup férir
les chercheurs d'énigme allumer leur phare
et fait place libre aux acheteurs de hasard
qui se gaussent et que son trouble fait rire
Dans le silence soudain devenu tristesse
il entend l'écho de sa jeunesse
les mots devenus icebergs titanesques
fondent comme des cathédrales gigantesques
Léger comme un bouchon, il danse sur les flots
au rythme du bateau ivre de Rimbaud.
Il s 'est baigné dans le Poème
dévorant les petits matins blêmes
La mélancolie la tristesse du soir,
lui fait apparaitre ce que l'homme a cru voir
les neiges immaculées et éblouies
où sont gravées des traces de courses inouïes
Il a pleuré aux aubes navrantes
des fleuves de larmes sans trêve
ont emporté ses illusions et ses rêves
nourris par de longues nuits enivrantes
La proue de son vaisseau messianique
sombre dans l' abysse des océans
l'emprisonnant au fond du gouffre béant
dans l'arche hantée des figures de rhétorique
le bohémien est un navire
dérivant jusqu'au au bout de la terre
dans son flanc alourdi de mystères
palpite un cœur qui souvent chavire
l'azur phosphorescent de lumière
glisse sous l'ombre de ses paupières
emplissant sa tête de rêves étranges
Entre ses doigts tremblants
de fines cascades de sable chaud
ramassé sur des rivages tropicaux
s'écoulent et rythment le temps
La douce musique de l'univers
murmure dans l'ombre du vent
la mélopée d'un bonheur enivrant
chanté par quelques pauvres vers
Dans une valse langoureuse
s’immisce sa tête aventureuse
dansant avec les jolis couplets
de quelques pas de feu follet
Il lance dans l 'espace des insomnies
quelques modestes rimes embrassées
venues du fond de sa pensées embarrassée
qui se perdent dans de lointaines galaxies
Autant d'hommages émouvants
pour chanter les émotions éternelles
évanouies parmi les étoiles immortelles
avec des amis envolés dans le vent
Parfois s'il semble perdre la raison
au fil des longues nuits et des lunaisons
c'est pour mieux laisser liberté à son âme
de vagabonder comme une flamme
Emporté par ses rêves et ses songes
il échappe aux guet-apens des intrigants
embusqués entre les étoiles froufroutant
masqués d'hypocrisie et de mensonge
Il plane le cœur léger dans l'ombre du vent
à la rencontre de ses frères connivents
pour alléger le fardeau du temps
enivré de poésie et de mots grandiloquents
sa pensée immortelle
traverse la raison et le réel
c'est le suc d'un fruit sauvage
qui voyage sans bagage
le chemineau espiègle de bohème
sème des énigmes et du hasard
et cherche une main dans le brouillard
pour couronner sa tête d'un diadème
Pour ne plus voir la lumière
du cœur de l'humanité frivole
qui gaspille tout son pactole
il clôt enfin ses paupières
Il écoute le silence sans plus mot dire
et termine son inextricable sabir
en se baignant dans des flots de poésie
et se délectant de nectar et d'ambroisie
Il laisse impunément, sans coup férir
les chercheurs d'énigme allumer leur phare
et fait place libre aux acheteurs de hasard
qui se gaussent et que son trouble fait rire
Dans le silence soudain devenu tristesse
il entend l'écho de sa jeunesse
les mots devenus icebergs titanesques
fondent comme des cathédrales gigantesques
Léger comme un bouchon, il danse sur les flots
au rythme du bateau ivre de Rimbaud.
Il s 'est baigné dans le Poème
dévorant les petits matins blêmes
La mélancolie la tristesse du soir,
lui fait apparaitre ce que l'homme a cru voir
les neiges immaculées et éblouies
où sont gravées des traces de courses inouïes
Il a pleuré aux aubes navrantes
des fleuves de larmes sans trêve
ont emporté ses illusions et ses rêves
nourris par de longues nuits enivrantes
La proue de son vaisseau messianique
sombre dans l' abysse des océans
l'emprisonnant au fond du gouffre béant
dans l'arche hantée des figures de rhétorique
le bohémien est un navire
dérivant jusqu'au au bout de la terre
dans son flanc alourdi de mystères
palpite un cœur qui souvent chavire
bo-aime- Invité
REVALITE ET BOHEMITUDE
La foltitude m'est enfin née , toute nue
la flamme de la bohème m'est revenue
adieu à tous les ennuis éternels
fi des vaines questions sempiternelles
soucis rages et débauches
restent vagues souvenirs en ébauche
tous les bagages sont déposés
l'impédimenta devient si léger
enfin libre comme l'air
aérien comme l'éther
sans souci du lendemain
je me prends par la main
je cours , je m'enfuis, loin des corvées
enfin je l'ai à jamais retrouvée
cette sensation de totale liberté
ce sentiment empli d'étrangeté
la rêvalité de la béatitude
la saveur de la bohèmitude
errer au long des chemins
rêve et réalité sont mon destin
la flamme de la bohème m'est revenue
adieu à tous les ennuis éternels
fi des vaines questions sempiternelles
soucis rages et débauches
restent vagues souvenirs en ébauche
tous les bagages sont déposés
l'impédimenta devient si léger
enfin libre comme l'air
aérien comme l'éther
sans souci du lendemain
je me prends par la main
je cours , je m'enfuis, loin des corvées
enfin je l'ai à jamais retrouvée
cette sensation de totale liberté
ce sentiment empli d'étrangeté
la rêvalité de la béatitude
la saveur de la bohèmitude
errer au long des chemins
rêve et réalité sont mon destin
dingo- Invité
Aube
Que ce jardin secret devienne notre cabane,
A nos yeux tout le moins, blottie dans la campagne,
Pour des joutes joyeuses, et des moments heureux,
De sourires en soupirs, et de rires en aveux ...
Ô soyez mon Rodrigue, je suis votre Chimène,
Et je vous aimerai de briser l'anathème,
De partir, revenir, en une longue course,
Qui change Callisto en superbe Grande Ourse ..
Vous distillez poète, dans le clair de mon cœur,
Une aube intemporelle, formidable lueur,
Au tréfonds de mon corps, les mots me manqueront,
Pour chanter la musique de ce doux frisson ...
A nos yeux tout le moins, blottie dans la campagne,
Pour des joutes joyeuses, et des moments heureux,
De sourires en soupirs, et de rires en aveux ...
Ô soyez mon Rodrigue, je suis votre Chimène,
Et je vous aimerai de briser l'anathème,
De partir, revenir, en une longue course,
Qui change Callisto en superbe Grande Ourse ..
Vous distillez poète, dans le clair de mon cœur,
Une aube intemporelle, formidable lueur,
Au tréfonds de mon corps, les mots me manqueront,
Pour chanter la musique de ce doux frisson ...
Lunielle- Messages : 17
Re: Bohème
La foltitude m'est enfin née , toute nue
la flamme de la bohème m'est revenue
adieu à tous les ennuis éternels
fi des vaines questions sempiternelles
soucis rages et débauches
restent vagues souvenirs en ébauche
tous les bagages sont déposés
l'impédimenta devient si léger
enfin libre comme l'air
aérien comme l'éther
sans souci du lendemain
je me prends par la main
je cours , je m'enfuis, loin des corvées
enfin je l'ai à jamais retrouvée
cette sensation de totale liberté
ce sentiment empli d'étrangeté
la rêvalité de la béatitude
la saveur de la bohèmitude
errer au long des chemins
rêve et réalité sont mon destin
dingo
Invité à prendre à café ou autre quand il le souhaite ^^
la flamme de la bohème m'est revenue
adieu à tous les ennuis éternels
fi des vaines questions sempiternelles
soucis rages et débauches
restent vagues souvenirs en ébauche
tous les bagages sont déposés
l'impédimenta devient si léger
enfin libre comme l'air
aérien comme l'éther
sans souci du lendemain
je me prends par la main
je cours , je m'enfuis, loin des corvées
enfin je l'ai à jamais retrouvée
cette sensation de totale liberté
ce sentiment empli d'étrangeté
la rêvalité de la béatitude
la saveur de la bohèmitude
errer au long des chemins
rêve et réalité sont mon destin
dingo
Invité à prendre à café ou autre quand il le souhaite ^^
drole de zebre- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Jeu 18 Avr - 15:17 par LINK
» RABBIT HOLE
Dim 7 Avr - 18:00 par LINK
» MOON
Sam 23 Mar - 19:15 par Invité
» NURU KANE
Sam 23 Mar - 13:50 par LINK
» Encore vous! Heureux de vous revoir!!!
Mar 19 Mar - 21:06 par Invité
» METAVERS
Mer 21 Fév - 22:45 par LINK
» L'ESPRIT TANGO
Mar 17 Oct - 14:32 par LINK
» Evangile de Thomas - Logia choisis : Libres d'interpretation...
Ven 13 Oct - 15:40 par Invité
» Oh lord
Ven 13 Oct - 15:24 par LINK